Déjà les goémons ont perci

Oui du départ du thé du beurre calekassegueule déjà les goémons ont perci, les dents des fourches ont comme les dos bleus, des palangrottes dispersent les tacauds, remorqui les fines, comme les corbeaux de mer ont trempé les ailes, et les mors d’est sont ableux dans les dents comme déjà les vaguelinottes ont bercé la platte et jamais l’ortograf ne nous aide déjà ce grand matin est dolent et tu molle dans tes soupirs, de qui ? de chaque qui oui s’étire sous la faice, dans l’intermonde des araignées, oui les dormeurs oui les relents du goulet, non pas humide et la terre immerge des arsenaux et des armées sèches et les rambulances raccomodent vite les traits des nuits les gammastrates éclairent les crues oui c’est un grand matin qui chemine tout penché et les bruits s’animent oui j’inox à qui sait haler un mouillage, hache aspiré, oui, du tribunal oui sur le support pré-humique l’ancien quai, oui parti, mais des bars et des entrepopeints, les méta-bars des déjà, oui la fin et je sais manier la bombe comme le goelanic, par main sans dormeur creux flottant du rouge, dessus le ballon si jean, perdu de retrouver sans fin.