Les rôles - dec 2009

Préambule



Qui croira dans les rôles ?

Que portent les dieux dans nos rôles ?

Que sommes-nous sans un rôle ?

Où se sont fondus les dieux ?

Quand pensent les fils de Kian ?

Hercule porte-t-il des cailloux ?

Aiment ils la fondue ?





Les travaux ou encore les rôles ou encore le rachat du caillassage de Kian


La pompe est amorcée. Le piston libéré, comme parti, les travaux comme les rôles, comme mort d’un ennemi que les fils de Tirenn ont donné à mon père. Comptons.

A savoir trois pommes, une peau de porc, une lance, deux chevaux, un char, sept porcs, un jeune chien, une branche à rôtir et trois cris sur une colline.

Sur les chaussures étalées dans l’entrée, ne rien dire qui déplait la semelle. Ne rien dire qui oppose tes ordres à tes boues. Ne rien dire dans les gonds et la sorte, toute.

Acharn héros enfant mange les serp et brise en force, petit sexe, les vertes herbes tout en venin, tout en prix à la gloire, tout pokémon trapu des phalanges.

Vous êtes un dieu, solaire, rusé, beau, fin et fier, fondamental sur le motif, remarquable parmi les fils et sous les métamorphoses. Vous aimez l’homme, ses ébats, ses ridicules prises de risques et son goût pour la pose.

Os rangés dans la boite en fer blanc, en rebord de talus, contre la croix. Tu passes, marcheur, et ce saint homme tout plié dans ses restes, à deux mètres de toi, ouvre ton coma

Il s’extrait du registre, se dévie entre les chaises, pour contresigner sa présence et assurer par l’encre sa sécurité. Il vous soumet, sans concerter.

Rôle à tout dit, nous marchons droit dans les dunes, tenus, tout bornés tout guidés dans nos rôles, fiers des dits-non des promesses, grappins heureux des positions. Mektoub

Tu zoonoses : Les Promastigotes de leishmania te sont sent par la stich d'un phlébotome. Leishmania envahit alors tes macrophages, divise tes cellules, s’ulcère et peut δευτερευόντως être infectée par des bacterien. Ta lesione cure souvent espontaneamente gant une cicatrice atrophique (sauf lésions cutaneo-muqueuses destructives). Les lésions d'autres espèces de leishmania peuvent guérir seules puis réapparaître sous forme de lésions amgerc’hell autour de l'emplacement de la lésion origineel, ou le long du trajet de drainage lymphatique. Et je zoonose.

Reste le corps, même immortel, scène dans nos combats la puissance des riens, des sous-dieux invisibles des veines, microbes distrayant les étais de nos rôles, virus navrant les artères du destin.

On n’en a pas fini, jamais tant que race, on n’en sera pas fini, jamais tant que le ton

Il ne put qu’accepter, car c’était la loi, et l’histoire prit quenouille pour combler l’Histoire, comme meuble rempli d’accessoire

S’il n’avait pu, ne seraient pas restés la voix ni le corps pour assurer le deuil chez ses proches et les rôles comme cartes se seraient stribués, par blessures d’argent, raflures d’écrous, brûlure des méthanes, pacte des ronces dans le fossé, les joues pleines de mures, enfant sous le regard du ciel

Parlementaires Maoris travaillistes devront comprendre que la banque centrale n’est pas caisse sans fond toute en poch

Oui à bras le corps à bras les jambes à bras les coudes à bras les yeux à bras le lobe à bras les tarses à bras la jupe oui à bras le porc

Mais je vends seulement une pierre et non un cochon, et mes ristournes ne sont pas clandestines mais détaillées au fisc, et je vous donnerai mon nom, celui de ma ferme et d’autres points essentiels comme Hera

Malin qui malédit, fait moudre les yeux du croyant, tout en sorts tout en chouette et effraie de nuit mouillée, malin pousse le rabot comme procureur sur la peau, sans égard, le mal tombe humide sur le licol

Enfin, ce n’est pas le sujet mais les moyeux du char sont-ils faits d’if ?

Saurons nous qui, dans le nu ?

Un soir, je fus contraint de m’abriter dans les locaux indépendants des requis, avec cheval et charrette, sous les tirs de la DCA qui menait le ravitaillement en vol. Plusieurs religieuses, plusieurs commissaires, figuraient au nombre premier des morts. Je poussais la porte du local entrebâillé et soutins la faim des semaines, tout habillé

Nous avons poussé tous les cris du monde, de la gorge en tout extrado.

Et parcourant les prés, dans la chasse aux biches, les bourdons traboulant fleurs, les élytres moirant sur les quartz, nul de nous n’est devenu ce grand chasseur, aux yeux tristes Deneb

Parent à honorer, marche délicate de la vengeance du sien

Et quand je suis fatigué, je mens les espaces des mots, ce qui est pire et ne laisse repu

Avocat vieillissant et blasé désire refaire surface, après apnée prolongée à la fin des années 70, et aimerait que la jeune femme quitte son mari, puis retrouve une caisse d’or dérobée à la Compagnie de Chemins de Fer, entre malfrats, mais tué dans le cambriolage de sa villa de Malibu, tout fasciné par l’hôpital et ses producteurs, comme en terre sainte

Ur, vue sur meR

Des tempêtes, des tas, que je couve et mets chez moi dans les files les filets sauront surement qui suis, de tirer les câbles humides, dans la tangue, souvent douce, mais tourne-estomac pour la poisse et la position, couchés du compas, du couteau casse-poisse, les têtes ici, coquille, rejets et fous dans le sillon, presse mes étoupes . Dans les filets, écailles, moi, barbu barbot barbelette de morue sous les bers, sauront surement qui suis, qu’imagine et qui change, l’endroit, les pas, les repas et surtout les bouges en marée. Je ne m’exprime pas. Je me rouge en contenu.

Enfin le temps va, son chemin ses bruines, enfin va, sous les dieux, dans leurs travaux, allons rajoute du sel et des sels et toute leur fureur sur les cumuls, va, pousse les dieux à la peine, dans le temps et sa cire, dans la glue des jours lourds, va, dans les degrés de sur le sable, ailleurs, sur les maïs secs et sur les va, ton chemin et le leurs et leurs destins, qui étrangement existent, enfin va, comme j’ai juré, va dans le temps et ses gris et son ampoule, va sur les pieds comme sur les leurs, tout nus sur l’herbe blanche étouffée, dans la traque du, va, et somme les vues dans ton lacet

Pleines heures, le saviez-vous, o grosses pleines sans dilu, coincé toi dans l’attente, mousquets et lame, Rodrigo, derrière la pierre d’angle, cette façade qui brillera, jaune vert, des âpres et de la peur, des espagnols, pleines heures, demain sans doute, demain, le saviez-vous, non

On dit beaucoup de chose, on dit que les raisins, on dit que je remontais, on dit que je grenade, on dit que tu changes, on dit profite, on espace les dits avec certains, et on se dit ami

Reste qu’il faut donner plus exacte notion de l’amende.

C’est un tas de planches dans une salle et la voix ne fait bien que rien, ne porte qu’arrondie sur les sièges rouges et comme tu passes, le spot ne clame rien et je brois attendre, comme j’ai cru à l’eau et mon texte sera mautre, passé, j’ai peur, dans des gencives et salives qui tourneront, j’espère demain, les mains à cogner texte, non, dans les nouvels coloris du plafonnier et le renvoi sera’dversaire et mes chants seront trac

Un buvard sur votre peau pouillée, un muvers sur notre veau souillé, une charmante verte sur la clavicule, rentrons la voile des os fortes. Nadja

Nenni horse, mi le ciel

Etoile d’argent, Blueberry, pistole balles d’or, hogan dans l’imposant sud, au sortir des fermes

La réponse du constructeur reprendra les dispositions retenues pour l’enveloppe, le diagramme intérieur, les plans d’ensemble et calculs en charge, toute surface confondue. Il détailleura la sécurité et l’ahurithenticité des bilans de régulation, de la préfiltration envisagée et de son maintien en société. Toute variante devra être déformable et justifiée. Les conditions d’accès du constructeur, ainsi que son entretien et sa maintenance, seront absorbées et évacuées par blochet.

Après tout, préfère que l’on dise le conte, toute astuce et toute pique, par-dessus les fossés de Claude, toute pique infaillible et mortelle, Envar, cheval de Manannann

Naissance des yaourts, frigo des jours, fromages assemblés des humidités, jeune et croissance

Corentin Afrique foot judo herbe ski piano non-temps Allemagne Papa pouce Maman je t’aime BonBom

Et le soir de pouce fut le sarment de l’ongle, tenu

Debut devoir des becquets cassés dans les bouches, becquets de mercure, alliage de brochets, pour siper les doutes, faire parlé, dire les contraintes, libérer les esprits des X-Rays, porter l’âme au sommet sans caries, percer les dentitions du risque, début calmer les peurs des peurs, puis maintenir, soldat, nos cohérsions, dans le salon des cris, dans la fatigue des sables saj-saj

Ensemble, nous croyons que les mots de ces textes sont sans raison, perfides et brouillés. Et ensemble, nous hésitons à croire que la vie et ses travaux et ses rôles et ses dimanches et ses dieux ont un sens

Une seule rivière et de nombreux rivages, tous différents. Baignons dans la même rivière, les pieds mals dans les limons changeants, chacun et sans nombre

Xénonphile, comme Ursu, aligne l’amer, dans le nord de Perséïd

Ces tribus océaniques ont vécu la nuit comme porte à connaissance, rebus ouvert momentané, ordalies figées comme marque des saisons, Subaru

Halte. Et pourquoi Luinn la pique de Perse, à lame refroidie dans le chaudron, tua Dobar, roi de l’ile de Siogar ? Et pourquoi la pomme lancée épandit la cervelle du roi de Perse ? Et pourquoi les porcs d’Iasal reprennent vie chaque soir, non loin de Tara

En toute aventure s’enquiert en fin de chant de son sommeil, pressée en rêve de luire

Vous êtes importants et marchez dans les foliacées, ne tournez pas votre bras droit sur la droite, la biche pourrait sentir, le mouvement, l’humeur, l’attention qui vous sous-tend. Le bras armé est souvent d’état, depuis vos bureaux, mais en cet été, c’est le change sans famille. La détente est douce au dessus des fougères et la canopée feulera de ramiers, pénétrés de choir.

Au modèle à manche long, appelé fouëne, appelé à piquer sole seiche poulpe, appelé au hasard dans les roches ou dans les sables tendres, tout trou, indice de pique mais prenez le croc, contre mulet, congre, oursin, murène, ormeau et tourteau

Une journée sèche, dans le silence du col de Peyresourde, dans le vent doux du col, dans les tendons longs de ton col, dans ta clavicule de Peyresourde, dans le trou auprès de ta clavicule où mon index décroit, dans tes frissons de matricule, près du col, tout près d’Espagne, dans le sec de notre journée, tous deux, déjà loin de la route, du col et des frites, déjà ma langue rape ta peau, tes frissons, tes haleines et ton souffle, déjà.

Xécutant les lettres, monsieur, tout étonné sur le papier du son lourd du fût.

Une haleine dans les lettres, des haleines dans une lettre, le O, encore un col, et les soirs d’octobre et de hauts repas, tout con court au son

Nous, indiens Huichol, sommes tous les enfants de, nous sommes tous les fils de, de la fleur éclatante, de la fleur aux couleurs, et pas un seul parmi nous, pas un seul parmi nous, ne regrette d’être ainsi nu

Clochardes, belles de boscop, reines des reinettes, treinéostig, reines du canada, granny smith, goldens, cox, reinettes grises

Hé et mon poil, je te donne, et mon tibia, et oiseau, chante tu pour moi ou pour ta douce, je te donne mes graines, et pour ta douce, des branches, comme tu dis, et de mes plumes rien, mais mes os, demain te donnerai, et fier mais sans pierre dessus, seule l’herbe, repue même si pas gros, et mes vers alors, dedans et mes muscles, un peu profonds, et dommage, mais calme est le lieu, en fleur le matin d’octobre, siffle tu pour moi ou pour ta douce

Ancien dit, seul et grand mais rien couté, malappri

Roi et deux pions ne peuvent battre Roi et une pièce que rarement, ou trop de sang ; seul un fou diagonale peut les tacher ou néantir.

Spirée barbe de bouc, symplocarpus, sanguinaire, scolopendre, selinum, stratiope, silène vivace près du bambou

Et on n’en a jamais fini, de sortir de soi, jamais sec

Patisserie de M. Floch, habite Quimper mais travaille au Technopole

Travaux du camp, rôles changeant minute comme brosse à dent du matin soir, dans le miroir, infanterie d’illusions des hommes

Pas désagréable mais inquiet, pas correct mais salaud, pas sûr mais castagne, pas pris ce soir mais rendez-vous, pas client mais visite

Or, les enfants, or, seront partisans, dans l’or et le jeu, pleins de passeports, tous experts des morts et des truites, plaints d’armes, comme enfants, or, tous comptables des circulations, or, tous proches, comme ri, dans les pets et le ciel

Réellement, le mond est différent, tout trinquet, est férent ce silence

Chuchumuchu ha koumoul

Son rival est un siège. Son rival est à moa

Une pierre dans la voix, dans les trois cris sur la colline, dans la colline sur la mer, sur les vagues grises qui glissent entre nous, entre les pierres et nos idées, tout bep lec’h.

Ne pas tenter de conclure, ne pas tenter, juste ne pas, et encore, juste placer, filer laisser, dans les herbes du gazon, dans les tentes toutes justes, ne croire qu’encore, les heures sont rab

Je t’hom

Ey, Jo. Faut pas croire aux Hercules. Faut pas croire aux Stallone. Faut pas croire aux Conan. Ey Jo, Faut pas qu’tu crois. Faut s’faire aux cutters, faut s’méfier des aiguilles, faut pas t’méler. Ey Jo, prends pas l’zef, ni la bourre, ni l’noir. Ey

Un travail utile, qui serve. Une dose de temps sous un chef, dans les procédures. Un enclenchement de tâches, soumise à facturation. Une comptabilisation des heures, à prix unitaires. Une décomposition des prix globaux, au forfait. Des jours usinés, sans creuset

Ne crois pas que la dernière tonte soit difficile, si autant difficile que le vent dans les châtaignes. Et comme les mures sont passées, racornies sans eau dans la fin de l'été sec, je te vois qui me parle, en tennis, craquant les brindilles des bouleaux pour les prochains feux. Et tes mots sont difficiles, bornent future colère, calent tes interdits. Je le sais et les feux seront automne. Je rassemble comme ressac. Tout passe et ne se fige. Tout rien ne remplit rien et pourtant rien ne sert, tout ce qui moi se rend et tu me caresses les cheveux. Le ballon sera usé, par mon fils, par mes bottes, par les ronces et par les pierres de la première façade. Le ray-grass pousse, poussera encore et les maillots aussi, comme les coups et le non-dit et le tout cri. Il est beau, il est blond et souple dans ses tee-shirts 11 ans. Et la pousse assombrira demain les racines du père. Ma femme, et ces deux enfants bêchent droit les versants des dunes

Et je dis : que la foule est sans sel, qu’il est idiot de se croire en nature, que la roue du ciel est fille de loups, des deux qui courent et trapperont, que tu m’écoutes quand tu ne veux pas, que je dis : dans ma foule il se coule, que je crois être idiot, que la roue de mes filles éloigne le loup, qui sont deux belles et sans tâches, que tu m’écourtes à chaque mot, et je dis : que le fou des dieux est un loup, qu’il est diot de courir après roue, que le sel des routes je n’en veux plus, pas plus que tes mots ne me croutent, déjà

Cé teux

Honte, qu’en faire, l’ôter, de tête, l’ôter vers le bout de la table, près de celle, en repu

Ires : ce sont ces chemins qui tracent homme et diffèrent l’océan, qui taillent et disquent dans le mouvement, dans l’histoire des pas chassés, dans l’écume de l’addenda

Endoscopie

Nous, cher Varèse, acoustiquons une embuscade, sans taillis

Un passé coulant, sans tête, tout férent contemporain, tables tressées toutes accrocs dans les mémoires, affutant la tension des lames des peuples niés, refusant les cuisses des oublis, tous tout épui

Non ni noyade du jeune chien, ni son os, dans l’o de bouée, ni non ni oui, flot de cime, le berger, plein sous les poils, crocs non I got, dessous les collines et par la bouche pleine de terre, mon berger, à jamais les vertes et la plaque, blanche et nue, toute nombre et nom, chéri, now no

Et vous êtes importants qui me comprenez, nombreux dans la colère, tous armés tout’aventure, égarées légions

Bordes et les rets, féaux, droits dans le four, les peaux velues des porcs d’Espagne, vacances musique et enfants piscine, cactées voraces, portable mouillé, jadis sous le dais du grand bleu, véritable

Reconnais qu’il n’y a rien, reconnais que la fleur est seule, reconnais indices sur les pousses longues des herbes, reconnais les offres, généreuses en chaleur, reconnais les rôles que chacun porte en ses genoux, en ses hanches, reconnais les doubles je, reconnais les toupies, dans nos souvenirs, reconnais que le temps est fil, reconnais qu’il est cruel

Aie beurre

Non, les rôles des dieux ne sont pas fréquences, ils survolent souples les barges du deuil, les rames de force, les biceps colorés, peut être bleus, qui colonisèrent les plages d’Europe, quand grecques l’arène dérivait d’Irlande et ne connaissaient le bleu, toutes h

Cric – Kian en pierre – croc – Kian à terre - cric

Hercule est connu, sans abri

Et cela nous griffe encore, ce demi-nu, cet enfant fier et fort, de tout aspic, ce tout zob

Arrivé dans les bulles, depuis profondeure, depuis les bars profonds qui opèrent nos limites, depuis les gaz sans couleur, depuis tes alvéoles non compressées qui drainent ton sang, depuis tes syncopes, depuis les roches vives et humides, par delà les antennes et les œufs, tout nous fera

Ra loin tout amour car dense et baliste le projectile tout mot tout gros poing en amour tout ciel

Or je suis venu dans mes mots tout au bout de mon mode, choppé entre l’écorce et le coeur du frène, seveli dans le blanc crème du comptoir des jectifs, qui me retourne sans os tout cesse, comme ces traces droites des champs et qui sèment, bizarres, les letters au fin lever

Tu trois cris sur une colline, maudit au pays car le plus beau des travaux, sacrailégé

Ils coulaient dans la furie, tous armés AK sur la barge du deuil, crachant les crocs du crime, et forgeaient la fin du cri

Route tout avion, nous survolèrent la colline, toutes maladies herbacées et potentilles, du très haut, en equipage, la trouée noire souvenait la présence, toute drone, des armes stockées en ceint ciel

Et vous imaginez des mages, noel, toute aile en cage, croutent les rages des hymnes, revus du reg

Tiens bon, tiens bien, tiens ban

Tarse à tu dis, tiens, t’auras, tu, le tacos atav, tout au tarot, tiens, tes tiques à tu dis, tout gourds les dentis, t’auras, même teint, sept truies, même morue et un accra

Ralors je crus me perdre, m’être perdu, dans tous mes rôles comme tant de drôles, comme tant d’espaces entre idées, eh oui, le plus loin du chat, me suis perdu dans les jardins humides, à la foulée souple, dans les bruines des fausses mémoires, dans les choux élastiques

On a tout dit sans la musique, et ce n’est plus une balle

Il peut apparaitre en vert, en choux elastique, comme une crachottière, dansant le chat sous les queues des luminaires, poussant les chaises en deux silences, toujours pluriel

Ses enfants auront le vertige

Stress enkrysté dans le grenar

Un possible aurait pu penser, comme pensée sonne bien, aux reilles et aux yeux, à l’air de l’esprit, comme vent, comme mots souvent lus, comme tout possible, dans les salles des tensions des meetings des soudains jeune et des espaces croyables, un possible tout fort de mots te déchire le taud

Rappelle-toi des enfants au vertige, et tu n’as pas compris, toi qui tout roy

Un poème j’ai parlé des dieux, si proches et si rôles dans notre prochain, ce fut ce souhait et ce soulage, de croire en instant que la chasse au daim, du rhapsode comme de l’oblat, traverse toute eau bénite et lourde, deuthérée, fille des mouch

Ne libère pas toutes les mains, garde en plain dans leur silence les eaux lourdes, les coquilles au son mat, les lests du périmètre

En approchant de la fin, il fallut clore, étouffer les derniers rais, réduire les éclats du miroir le tain

Ce fut un terrible mu

On poussera encore, dans les écrits qui viendront, on poussera les lettres au delà des chiffres et les codes formeront des humains le maintien

La robe noire sans accroche sied au procurateur comme envie de rouler sous pluie le grand long du noir des murs et sous la robe des vins quand la condamne, tout temps stoppé par sifflet de la houle, subit le nom du verrou, après sa questio

Lui, comme dieu et narre et valar, a force, patte, pouvoir, chagrin et loi

Il faut penser fin (c’est une cachottière), penser faim faut-il

Non, les rôles sont férents part le nombre, beaux et teints dans leur drame, brodés fins dans leurs actes, par nous, férieurs le dieu main

En lion une hydre le sanglier la biche les oiseaux à stymphale les écuries un taureau des juments la ceinture un bœuf la chienne braisée



3rois milliards de mouvement de piston, comme suffit, le cœur, en arrêt et le rien. Tout soudain, contractés, les peaux, les membres, les amis, les parents, le vent devant la pierre, tous foliacées.















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